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MERAKI #2 - Festival international de théâtre universitaire

Publié le 22 mars 2023 Mis à jour le 11 décembre 2023

MERAKI est de retour pour une nouvelle édition ! Retrouvez sur les planches les troupes étudiantes le temps d'une semaine théâtrale plurilingue : spectacles, rencontres, ateliers, journée d’études, visites guidées.

 
En partenariat avec le Théâtre National Populaire de Villeurbanne,
l'Institut Cervantes et l'Institut Culturel Italien de Lyon.

Projet initié par le service des affaires culturelles de Lyon 3 ;
sous la coordination artistique, pédagogique et scientifique d’Ilaria Moretti.

Photographies : Antonella Mazzitelli & Alex Delecaut

 


 
Μεράκι

L’essence de nous-même.
Mettre une partie de son âme dans ce que l’on crée.

C’est par ce mot intraduisible que les Grecs modernes décrivent ce qui est fait avec âme, avec brio, lorsqu’on laisse « quelque chose de soi-même » dans ce que l’on fait. Telle est l’essence, le ton que nous désirons donner à nos pratiques, singulières et multiples, du théâtre à l’université. Un théâtre humain, fait d’allégresse, de créativité, d’engagement. Un théâtre humaniste pensé dans son rôle éthique, fabriqué avec humilité, poésie et désir de compréhension de nous-mêmes et des autres.
 

Cette année...
 
Nous pouvons ardre, encore.
La fabrique de la violence
Résonnant comme un appel à écrire, à monter sur scène, cette thématique évoque la force avec laquelle le théâtre anime ses acteurs et actrices. Elle dit le risque de monter sur les planches, le cri, l’immensité du silence, l’effort des corps en tension ; elle donne à voir la création à l’œuvre, met en lumière les dynamiques et les sensibilités incandescentes qui créent le théâtre. Fabriquer la violence… Faire du théâtre le lieu de l’expression de soi, d’une prise de conscience collective, lieu de constructions, espace de vérité et miroir de notre monde.




 
On dit d’un fleuve emportant tout qu’il est violent
mais on ne dit jamais rien de la violence des rives qui l’enserrent.

Berthold Brecht, Über die Gewalt


 

PROGRAMME

 
23 MAI
JOURNÉE D'ÉTUDES
Quand le théâtre universitaire s’attaque à la violence


9h-17h30 | Auditorium Malraux (16 rue Rollet)
Portée par les centres de recherche Marge & IHRIM
En partenariat avec l'Institut Culturel Italien de Lyon

Cette journée d’études s’empare de la thématique retenue cette année. Comment le théâtre universitaire s’attaque-t-il à la violence ? Elle apparaît avant tout comme un thème, crucial dans les créations théâtrales, abordé dans les enseignements, rencontres ou ateliers artistiques. Mais la violence n’est pas qu’un objet que le théâtre contemple à distance : elle est présente aussi dans les processus de création. Dans le cadre du théâtre universitaire, elle peut s’inscrire de façon manifeste ou latente dans les structures relationnelles, pédagogiques ou scientifiques.

À la fois pierre d’achoppement et sujet brûlant animant les réflexions épistémologiques, herméneutiques et scientifiques, elle est parfois même considérée comme l’élan déclencheur de la création – une « force en action », d’après l’étymologie latine de la racine vis. Le théâtre universitaire s’attaque ainsi à la violence pour l’observer, la penser, et envisager de quelle manière, il se trouve traversé par elle. Le théâtre peut-il tenir compte de la violence sans qu’elle le submerge ou le fascine ? L’université constitue-t-elle un lieu privilégié pour répondre à cette interrogation ? Cette journée, qui réunira chercheurs, enseignants, étudiants, praticiens, en variant les formats de travail, voudrait offrir de nouvelles perspectives sur cette question.
 

Programme détaillé

 

SPECTACLE MULTILIGUE
Nosotres

Photo : Maelys Meyer
 


18h30 | Salon des symboles sud, 6 rue Rollet, Lyon 8
Par l'atelier théâtral multilingue, Université Jean Moulin Lyon 3
D’après Esquisse des hauteurs d’Alicia Kozameh
Mise en scène : Sylvie Mongin Algan, 3.8 et Cie et Géraldine Berger, Cie ON OFF
 

Trente femmes de 14 à 65 ans. Trente femmes détenues dans le sous-sol d’une préfecture de police pendant la dictature de Videla dans l’Argentine des années 1970. Trente femmes qui résistent et ne se laissent pas enfermer : elles échangent, pensent, protestent. Trente femmes pour qui la désobéissance est le meilleur moyen de rester vivantes. Du texte témoignage de l’autrice argentine Alicia Kozameh, est né « 30 », un processus de création théâtrale collective qui a déjà rencontré plus de 200 femmes artistes dans le monde. Cette année, les étudiantes et les étudiants artistes s’approprient cette histoire et proposent un nouveau récit de cette mémoire

24 MAI
THÉÂTRE EN FRANÇAIS
Génération Black Out

Photo : Alex Delecaut


18h30 | Salle Jean Vilar, TNP Villeurbanne, Place Lazare-Goujon

Par l'atelier de théâtre en français, Université Jean Moulin Lyon 3
Création originale à partir de témoignages étudiants
Mise en scène : Corinne Ginisti et Rémi Abdelli
 

Paroles brutes et black, comme l'avenir auquel s'attend la jeune génération, étayées d'articles de presse, de blog et autres écrits ancrés dans le présent. Parce que les plaies sont à vif face au dérèglement climatique, à la santé mentale des étudiants, aux ravages de la société de consommation, à l'absence de futur et la difficulté de se projeter dans un rôle de parents à l'avenir... Il ne reste qu’une solution : le BLACK OUT !
 

Jeu
Julie Balmes, Océane Bauden, Lucie Busson, Salomé Fauvey, Camille Lansard, Iwan Michel, Solène Pichot, Capucine Masson, Constance Mattei, Ugo Bottega di Luce



 

THÉÂTRE EN FRANÇAIS
Le cercle de craie caucasien

Photo : Diego Zebina


20h30 | Salle Jean Vilar, TNP Villeurbanne, Place Lazare-Goujon

Par la Troupe de l’Université Catholique de Lyon
Mise en scène : Pascal Riou et Marianna Brouze


Dans une Géorgie bouleversée par la guerre, une floraison de péripéties tragi-comiques gravite autour du fond mythique du jugement de Salomon : « Qui est la vraie mère d’un enfant ? ». Cette dimension, arborescente & polyphonique, permet une diversité de jeux, de tons, tisse un mélange esthétique où dialoguent des dimensions poétiques, chorales, réflexives, en un mélange à même de prendre en compte la complexité de l’Histoire, l’omniprésence d’une violence permanente, la difficulté d’être juste au sein de cette violence et le quasi-miracle d’y parvenir cependant.

Deux « ardeurs » en conflit dans la pièce. L’une noire, la basse continue d’une violence imbécile, « au mufle de taureau » et l’autre précaire mais indéracinable, l’ardeur d’une résistance inventive, obstinée et rusée, toute proche d’être écrasée par le rouleau compresseur de la première, mais n’y consentant jamais. À ce titre, cette pièce, parfaitement lucide quant à l’omniprésence de la violence dans les relations humaines tant privées que publiques, n’en est pas moins une provocation à une espérance dépouillée de toute illusion lyrique.
 

Jeu
Liza Arcos, Chaimae Benomar, Marianna Brouze, Quentin Frume, Anna Guegan, Leo Guegneau, Albane Lemaire de Marne, Noah Mamola, Mathilde Neulas, Meredith Pinel, Aude Rey-Coquais, Amélie Rioux, Amaury Rouveirolles, Benjamin Verdier, Ornella Uwase Simbi

25 MAI

WORKSHOP DE THÉÂTRE EN ITALIEN
"I sentimenti bui" / "Les sentiments sombres"

14h | Institut Culturel Italien de Lyon
Loft, 18 rue François Dauphin, Lyon 2

Un moment d’étude autour du thème de la violence, sujet central dans cette deuxième édition du festival. Un atelier intergénérationnel et interculturel pour interroger la difficile question des "sentiments obscurs" qui habitent l'être humain, à travers un travail sur le corps, la voix, le jeu d'acteur et sur le texte, tantôt romanesque, tantôt théâtral.

Dirigé par Ilaria Moretti, Université Jean Moulin Lyon 3

Textes de référence
L'odore del sangue - Goffredo Parise
Sei personaggi in cerca d’autore - Luigi Pirandello

Réservé aux étudiants artistes du festival
et aux inscrits à l'Institut Culturel Italien de Lyon


 

THÉÂTRE EN ANGLAIS
Bród

Photo : Flora Abd Rabo


18h | Salle Jean Vilar, TNP Villeurbanne, Place Lazare-Goujon

Par l'atelier de théâtre multilingue, Dublin City University
dirigé par Flora Abd Rabo, Maria Loftus
Création originale de Caitlin Kearns et Angela Todaro,
Mise en scène Caitlin Kearns
 

À travers la réelle et triste histoire de Declann Flynn, tué dans un parc dublinois en 1982 car homosexuel, cette pièce retrace le développement de Pride/Bród en Irlande, le combat de la communauté LGBTQIA+ pour avoir le droit d’ardre pour la personne de leur choix, d’aimer, de vivre. Cette création trilingue et musicale mêlant la fiction au réel questionne l’environnement de violence dans lequel les personnes queer baignent depuis les années 80 jusqu’à nos jours : dans les mots, dans les gestes, mais aussi dans l’injustice.
 

Jeu
Flora Abd Rabo, Lauren Elizabeth Baker, Aoife Byrne, Claire Connolly, Marta Fernandez Marquez, Holly O Hanlon, Caitlin Kearns, Michael Kennedy, Jamie Mangan, Helena Mc Aree, Angela Todaro, Derek Walsh

Technique
Jamie Mangan




 

THÉÂTRE EN ANGLAIS
An Inspector Calls 

Photo : Elouan Jorrand


20h | Salle Jean Vilar, TNP Villeurbanne, Place Lazare-Goujon

Par l'atelier de théâtre en anglais, Université Jean Moulin Lyon 3
D'après John Boynton Priestley
Mise en scène : Marsile Touron, Lisa Marchal, Oliver Firth,
Rebecca Mumby et Clara Griffiths

 

Les Birling fêtent les fiançailles de leur fille aînée Sheila et de Gerald Croft, fils du concurrent principal d’Arthur Birling. Mais la paisible soirée est interrompue par la visite de l’Inspecteur Goole : il semblerait qu’une jeune femme ait été retrouvée morte et que les Birling n’y soient pas sans reproche...

Écrite en 1944, cette tragi-comédie met en scène les luttes entre les différentes classes sociales en Angleterre. Le suicide d’Eva Smith révèle les violences subies en tant qu’ouvrière et marionnette des Birling, famille de la nouvelle bourgeoisie qui semble abuser de son pouvoir et de son influence. L’apathie de la haute bourgeoisie, son manque total de compassion et les rapports nécrosés au sein même d’une famille comme les Birling se trouvent au cœur de la pièce. Sans oublier l’Inspecteur Goole, personnage tout aussi ambigu qui pourrait être plus impliqué qu’il n’en a l’air… La mort d’Eva Smith pourrait-elle être tout ce dont il a besoin pour mener à bien ses plans politiques ?
 

Jeu
Bilal Ali Léo Arzimanoglou, Clara Bourgeat, Elea Caligaris, Armance Fanget, Camille Godeau, Fleur Jorrand, Célia Saoudi

Décor et costumes
Karim El Asri Ophélie Marmion

26 MAI
THÉÂTRE EN ESPAGNOL
Diario de una jaula

Photo : Denis Oliveira


18h30 | Salle Jean Vilar, TNP Villeurbanne, Place Lazare-Goujon

Par la Escuela Superior de Arte Dramático de Sevilla
D’après Cómo fue España encadenada de Carlota O’Neill
Adaptation María Costales Galindo et Carmen Costales Galindo
Mise en scène Nieves Rodríguez Gómez
 

Melilla, 17 juillet 1936. L’Espagne ne sera plus jamais la même pour personne. La peur s’empare de la population et, dans la prison Victoria Grande, huit femmes sont emprisonnées. Chaque femme porte le poids d’une vie faite de complications qui se reflètent dans leur quête permanente de liberté.

Amitié, amour et conflits quotidiens suivent ce groupe de femmes incarcérées. Les geôlières sont les seules à avoir accès au monde extérieur. Trois hommes purgent également une peine : survivre dans le travail qui leur a été assigné, avec plus ou moins de lucidité, mais avec l’humanité que leur permet une guerre. Cette création donne une voix à toutes les femmes et tous les hommes qui, malgré un contexte difficile et des circonstances de vie compliquées, ont continué de se battre pour la liberté : la liberté d’aimer, de ressentir, de penser qu’un jour tout peut changer, que la guerre se terminera et que nous serons avec nos proches, la liberté de rêver... même prisonniers d’une cage.
 

Jeu
Sergio Arias Fernández, Ana Barroso López, Lola Domínguez Martín, Yirlani Francini Campos Ramírez, Rafael Gallardo García, Paula Hernández Fernández, Carmen Mayo Murube, Jose Sánchez Caballero, Marta Vallés Romero

Scénographie
Juan José Reinoso Carmona

Spectacle en partenariat avec l'Institut Cervantes de Lyon


 

THÉÂTRE EN ESPAGNOL
Mujer y encierro

 Raquel Forner, Tinieblas (1943), huile sur toile, 86 × 116 cm



20h30 | Salle Jean Vilar, TNP Villeurbanne, Place Lazare-Goujon

Par el Grupo de Teatro Universitario Al margen de l'Université Jean Moulin Lyon 3
D’après La casa de Bernada Alba de Federico García Lorca
et Al margen de Victorina Durán
Mise en scène : Francisco Villanueva Macias
 

La violence exercée sur les femmes dramaturges par la « mise en silence » ou l’oubli rend la réflexion sur la parole essentielle. Le texte devient la scène privilégiée du corps enfermé et la violence territoire de création pour ces artistes. Dans cette écriture ambivalente, le geste agressif renvoie le plus souvent au silence assourdissant qui condamne à l’insignifiance.

Dans cette adaptation, hommage au théâtre espagnol fait par ou pour les femmes, le troisième acte de La casa de Bernarda Alba souligne cette forme de dissidence créée grâce à l’acte violent. Si, d’un côté, le silence de Bernarda empiète sur les cris enfermés de ses cinq filles célibataires, de l’autre, le désir enclos éparpille une violence qui asphyxie peu à peu les femmes de la pièce. Au paroxysme de cette violence, Adela, étouffée, reste réduite au geste saccadé et au visage possédé jusqu’à l’anéantissement de sa parole. Dans Al margen, le corps écrasé devient la carcasse de l’essentialisme. Elena, la protagoniste de cette comédie en deux actes, est le bouc émissaire d’une société hétéropatriarcale et bien-pensante qui l’empêche de verbaliser son homosexualité.
 

Jeu

Justine Berard, Hiba Bouraba, Anne Léa Brouhan, Lou Celadin, Diego Delgado Alcala, Elise Denis, Natalia Duarte, Hedi Fathallah, Justine Frances, Jeanne Grovel, Christopher Liba, Mélodie Merlini, Anahi Naulot, Mathilde Rivet, Emma Torrecilla

Spectacle en partenariat avec l'Institut Cervantes de Lyon

27 MAI
LECTURE À VOIX HAUTE
Phèdre et autres grecques

Photo : Maelys Meyer

15h | Instituto Cervantes de Lyon, 58 chem Choulans, Lyon 5e


Par l'atelier PULPO en partenariat avec l’Instituto Cervantes de Lyon
Adaptation et mise en scène Ana Benito, Sylvie Mongin-Algan, 3.8 et Cie
 

Leamos ahora ! Avec PULPO, lisons ensemble, à voix haute, des textes écrits et joués aujourd’hui dans différents pays hispanophones. Pour cette édition, sont invités l’ESAD et l’atelier de théâtre en espagnol de l’Université Jean Moulin Lyon 3 – service des affaires culturelles qui s’en donneront à cœur voix : au programme, différentes adaptations de la tragédie Phèdre.


 

THÉÂTRE EN ITALIEN
Rebelles et vaincus

Photo : Federico Donatiello


18h30 | Salle Jean Vilar, TNP Villeurbanne, Place Lazare-Goujon

Par l'atelier de lectures performées multilingues
de l'Università degli Studi di Padova dirigé par
Pierantonio Rizzato, Federico Donatiello et Viviana Nosilia
Mise en scène : Pierantonio Rizzato
 

L’universalité de la violence et de la poésie. Une expérience collective qui donne à entendre un répertoire de textes poétiques issus de littératures d’Europe de l’Est et d’Europe centrale, dans un parcours qui va au-delà des frontières géographiques et brise les barrières linguistiques. Une expérience polyphonique faisant résonner les voix des marginaux, des rebelles, des vaincus, au moment de l’affirmation de leur identité.


Jeu
Roberta Cavasin, Martina Cimino, Ester Dall’Olio, Ilenia Faraon, Rebeca Filimon, Jacopo Frizzera, Édua Guidolin, Milesa Ilić, Richard Janczer, Gaia Michelini, Alessia Mio, Chiara Pagani, Laura Renesto, Fruzsina Sarkany, Adrian Sava, Giulio Scremin, Francesco Secci, Micol Verganesi

Spectacle en partenariat avec l'Institut Culturel Italien de Lyon

 

THÉÂTRE EN ITALIEN
L’imbecille

Photo : Alex Delecaut


20h30 | Salle Jean Vilar, TNP Villeurbanne, Place Lazare-Goujon

Par l'atelier de théâtre en italien de l'Université Jean Moulin Lyon 3
D’après Luigi Pirandello
Mise en scène Ilaria Moretti
 

Dans L’imbecille, écrit en 1912 et joué pour la première fois en octobre 1922, quelques jours avant la marche sur Rome, la violence est représentée d’une manière absolument moderne, pour ne pas dire actuelle et commune à notre société. C’est le pouvoir qu’un chef peut exercer sur ses subordonnés. Ou la mesquinerie quotidienne d’un groupe envers les plus influençables. Mais c’est aussi et surtout la violence de la masse, d’une masse aveugle qui contient déjà les prémices d’un régime totalitaire.

Dans cette adaptation scénique, les répliques restent inchangées, la plume est celle de Pirandello, mais le face-à-face avec le pouvoir ne se réduit pas à un dialogue entre deux subjectivités (le patron et son rédacteur malade), mais c’est toute une « masse - rédaction » qui s’unit contre sa directrice, en l’humiliant et en la privant de son travail et de sa dignité. Cette congrégation d’individus, mis ensemble, donne lieu au pire des spectacles, celui d’une violence aveugle et destructrice : assassine.
 

Jeu
Mirko Atzori, Olivier Chaffardon, Elena Colucci, Aymeric Dorier, Fiona Gazzaniga, Marie Merle, Zaira Ottanelli, Juliette Rindone, Yolanda Schickele, Eva Anaïs Tissot, Emma Viotto

Spectacle en partenariat avec l'Institut Culturel Italien de Lyon


Partenaires :
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